Chaque jour, une oeuvre et une entreprise, pas forcément Cocarde, qui m’ont tapé dans l’oeil.
Eux, les artistes,
Des étudiants du Groupe 46 de l’école du TNS, option Régie-création et scénographie-costumes : Thomas Cany, Foucault de Malet, Jessica Maneveau, Antoine Pusch, Zoé Robert, Margault Willkomm, Constant Chiassai-Polin, Clara Hubert, Ninon Le Chevalier et Dimitri Lenin.
Lui, le mécène.
CIC dont la signature est de Construire dans un monde qui bouge, a décidé de soutenir la Jeune création qui bouge vu que le Monde, lui, ne bouge plus. Pour une fois qu’un banquier joue avec le Feu, et évidemment sans jamais se brûler, ont reconnaitra avec bienveillance au CIC sa récente vocation d’entreprise à Mission (2020).
Elle, l’oeuvre
Riviere de verre. Une rivière qui coule d’une source d’électricité qui vient du sol, dans une déambulation fort poétique en lambris de chambre d’étudiants, pour ne pas les dépayser. Car ce sont bien des étudiants du groupe 46 de l’école du TNS, option Régie-création et scénographie-costumes, 46 pour le nombre promotions, et compte tenu que le Groupe 1 s’éclairait encore à la bougie…
Il s’agit d’une œuvre collective créée en collaboration avec les maîtres verriers du CIAV de Meisenthal, et sous la houlette du metteur en lumière Philippe Berthomé. Objets d’éclairages suspendus à un tube de souffleur à contracter le tétanos, ou posés sur des sellettes, de jolies pièces offertes par le travail, l’enseignement, le feu, le souffle et sans doute une plus belle part de hasard, comme tout travail ou la matière joue le premier rôle.
Un déambulateur en bois sculptural guide les pas et les yeux, offrant des perspectives encore plus charmantes le soir.
PLACE KLEBER
Pour en savoir Plus Mieux
Commenti