Avouez que c’est ballot d’avoir une armoire remplie d’uniformes sans avoir fait son armée, mais d’aller tout de même au casse-pipe comme un bon vieux fantassin, à minima fantasque car c’est le prix de la survie émotionnelle dans ce monde d’émoticônes. Alterner des semaines à casser sa pipe avec celles à ne casser aucune brique, c’est visiblement ça mon karma. Jeudi embrûche Dans le bus qui m’amène à la gare, un gamin en poussette lance sa balle. Je la ramasse deux fois, il la